Les 8 et 19 mars derniers, la FA-FPT – comme l’ensemble des organisations syndicales – vous a appelés à vous mobiliser au cours de deux journées d’actions.
L’une, le 8 mars dernier, se focalisait sur les injustices et les inégalités que subissent toujours, en 2024, les femmes de la Fonction Publique, alors même qu’elles constituent la majorité de leurs effectifs (57% à la Région, par exemple). La seconde, le 19 mars, traduisait la mobilisation de l’ensemble des organisations syndicales du service public autour des enjeux de carrière et de pouvoir d’achat, à l’heure où à Matignon, le Premier Ministre, ainsi que Stan, notre ex-ancien et néanmoins tout (re)nouveau Ministre de plein exercice envoient des signaux discordants sur l’évolution des conditions de rémunération des agents publics, et tentent le grand écart entre “l’oxygénisation” des carrières et “l’assainissement” de la dépense publique.
Les 8 et 19 mars derniers, la FA-FPT – comme l’ensemble des organisations syndicales – vous a appelés à vous mobiliser au cours de deux journées d’actions.
L’une, le 8 mars dernier, se focalisait sur les injustices et les inégalités que subissent toujours, en 2024, les femmes de la Fonction Publique, alors même qu’elles constituent la majorité de leurs effectifs (57% à la Région, par exemple). La seconde, le 19 mars, traduisait la mobilisation de l’ensemble des organisations syndicales du service public autour des enjeux de carrière et de pouvoir d’achat, à l’heure où à Matignon, le Premier Ministre, ainsi que Stan, notre ex-ancien et néanmoins tout (re)nouveau Ministre de plein exercice envoient des signaux discordants sur l’évolution des conditions de rémunération des agents publics, et tentent le grand écart entre “l’oxygénisation” des carrières et “l’assainissement” de la dépense publique.
Ce que dit la FA-FPT : « L‘agent qui manifeste, ne serait-ce que le temps d‘une heure de grève, apporte sa voix à celle de tous ses collègues pour faire avancer les choses“